Bouchertrou dans mur en placoplĂątre. InvitĂ©. Vous pouvez mettre un peu de mousse expansive (pas trop car ça gonfle), et une fois bien sĂšche coupez au cutter l'excĂ©dent et recouvrez d'un Boucherles trous: Un mur en paille est rarement plan. Les gros trous doivent d'abord ĂȘtre rebouch Ă©s avec du renformis, c'est Ă  dire un mĂ©lange avec un liant et beaucoup de fibres. Exemple de dosage pour du renformis: Renformis en terre: 1 volume de terre argileuse tamisĂ©e + 1 Ă  2 volumes de paille hachĂ©e. Renformis Ă  la chaux: 1 volume de chaux (plutĂŽt hydraulique) + 1 Ă  Boucherun trou dans un mur de gypse est une rĂ©paration facile Ă  faire soi-mĂȘme, d'autant plus qu'on peut souvent le faire sans trop d'outils, simplement avec un couteau et une spatule pour RĂ©glementationde la mitoyennetĂ©. La mitoyennetĂ© fair l’objet de plusieurs articles qui sont inscrit dans le Code Civil : Pour un mur : articles 653 Ă  665. Pour tous les types de clĂŽture : articles 666 Ă  670. Un mur ou une clĂŽture considĂ©rĂ© mitoyen ou mitoyenne l’est dans sa totalitĂ©, c’est Ă  dire que chaque propriĂ©taire Bravopour cette rĂ©novation. J'avais le meme soucis de trou en bas de mur Ă  la maison, pour les enduits un peu Ă©pais comme ceci j'utilise une chaux / mĂ©lange bĂ©ton pour le rebouchage. Il
Vay Tiền Nhanh Ggads. Nos vieux murs, qu’ils soient en pierre ou en terre pisĂ© nĂ©cessite un soin tout particulier. Qui n’a jamais vu un mur en pierre Ă©croulĂ© sur le bord d’un chemin ou un mur en pisĂ© complĂštement creusĂ© le long d’un trottoir ? Peut ĂȘtre n’y avez vous jamais fait attention avant de vous sentir concernĂ© mais le bĂąti ancien est fragile. Les maison en pierre et en pisĂ© vont elles toute s’écrouler pour autant ? Non Ă©videmment, mais Ă  condition d’en prendre soin. Si les maisons anciennes se dĂ©grade ou s’écroulent, c’est uniquement parce qu’elles sont mal traitĂ©es enduits Ă©tanches sur les murs, doublages placo caches misĂšre , amĂ©nagements en bĂ©ton dalles au sol, plancher alourdissant la structure, isolation non respirante polystyrĂšne , trottoirs en bitume, terrasse en bĂ©ton. Une maison ancienne n’est pas faite pour recevoir tous les amĂ©nagement et les techniques modernes. Faut il vivre comme on le faisait il y a 1 siĂšcles et demi, en s’éclairant Ă  la bougie ? Non Ă©videmment, mais il faut s’inspirer des modes de vie des ancien, qui bien avant l’ùre de l’écologie, se souciaient de le sobriĂ©tĂ© Ă©nergĂ©tique, faute de moyens. Mais alors, comment faire pour que ma maison ancienne soit agrĂ©able a vivre, tout en restant solide pour les siĂšcles Ă  venir ? RĂ©duire l’humiditĂ© d’une habitation, augmenter la respirabilitĂ© des murs, rĂ©duire les dĂ©perditions de chaleurs ou accumuler celle-ci dans des murs masses, mettre en valeur la pierre, ou la protĂ©ger quand celle-ci est fragile ou exposĂ©e aux intempĂ©ries sont autant d’exemples faisant appel au bon sens plutĂŽt qu’à un nouveau produit miracle de chez Saint-Gobain. L’équilibre hygromĂ©trique s’obtient principalement par la purge des revĂȘtements Ă©tanche appliquĂ©s contre les murs et en pĂ©riphĂ©ries de ceux-ci. ProblĂšme, ces matĂ©riaux en place ont souvent causĂ© des dĂ©gĂąts aux bĂątiments et c’est maintenant que nous en payons les consĂ©quences. Dans le cas de la pierre le ciment Ă  un effet fongicide, la pierre se dĂ©sagrĂšge car l’humiditĂ© emprisonnĂ©e derriĂšre les enduit ciment l’imbibe et dans les pĂ©riode de grand froid la pierre ne rĂ©siste pas Ă  la pression de cette eau devenant glace. Nous nous efforçons de purger tout le ciment en place, des enduits jusqu’au creux des joints pour permettre Ă  l’humiditĂ© de retrouver son chemin vers l’extĂ©rieur. Il nous arrive frĂ©quemment de devoir reprendre des Ă©lĂ©ments de maçonnerie en pierre, trous Ă  boucher, pans de mur Ă©croulĂ©s, consolidation par coulinage etc
 Dans le cas du pisĂ© les dĂ©gĂąts liĂ©s Ă  l’humiditĂ© sont bien plus important, de la dĂ©gradation de surface Ă  celle impliquant l’intĂ©gralitĂ© du mur, les opĂ©rations sont vastes tout comme l’écart de prix entre une opĂ©ration simple et une reprise en sous-oeuvre, c’est pour cela qu’il faut faire surveiller l’état de son mur en pisĂ© avant que les pathologies aient atteins un stade avancĂ© synonyme d’opĂ©rations lourdes. Liens auto diagnostic Pare-vapeur, Frein-vapeur, Rien du tout, qui a raison ? Faut-il prĂ©voir une barriĂšre Ă  la vapeur d’eau ? Si oui, pourquoi ? Pare-vapeur ou frein-vapeur ? OĂč doit-il ĂȘtre mis en Ɠuvre par rapport Ă  l’isolant ? Encore un sujet clivant, tant au niveau de la dĂ©nomination, que des besoins et/ou des mises en Ɠuvre. Diverses “chapelles” ont vu le jour au fil du temps, parfois totalement opposĂ©es, parfois d’accords sur la position Ă  tenir et, mĂȘme si accord sur le fond, parfois avec dĂ©saccord sur les raisons de la position adoptĂ©e. S’ajoutent des terminologies qui ont Ă©voluĂ©, des fonctions qui se sont cumulĂ©es, des obligations qui, comme toujours lorsqu’il y a contrainte, n’ont pas forcĂ©ment Ă©tĂ© bien acceptĂ©es. Pare-vapeur en cours de mise en Ɠuvre Faisons un point, le plus exhaustif et impartial possible dans les argumentations. Fonction premiĂšre Il est apparu, au fil des ans, au fil de l’évolution de nos modes de vie, au fil de l’évolution de nos habitats que, de plus en plus souvent, nos parois extĂ©rieures concentrent des dĂ©sordres, Ă  la fois visuels, mais aussi structurels et, surtout, menaçants pour notre santĂ©. Nous allons dĂ©velopper au fil de cet article pourquoi et comment ces dĂ©sordres apparaissent et en quoi ils peuvent ĂȘtre nĂ©fastes. Ce sont des aurĂ©oles d’humiditĂ©, suivies assez rapidement de taches grises puis, au final, apparition de moisissures. Le constat a Ă©tĂ© fait, au fil des Ă©tudes, qu’un des moyens d’endiguer ces phĂ©nomĂšnes ou tout au moins de participer Ă  leur rĂ©solution est de permettre l’évacuation d’une partie de la vapeur d’eau au travers des parois, ce qu’on appelle la perspirance pdf. Il est d’autant plus important de gĂ©rer ces flux de vapeur qu’elle se cumule souvent Ă  des apports inhĂ©rents aux parois elles-mĂȘmes telles que les remontĂ©es capillaires. Pour schĂ©matiser, disons que telle une mĂšche dans un liquide voit celui-ci la remonter, un mur, ancrĂ© dans le sol, voit l’eau le “remonter” depuis le sol. Ceci est omniprĂ©sent dans les bĂątis anciens car, contrairement aux constructions rĂ©centes, ils ne comportent pas de rupteur de remontĂ©e capillaire. Il est donc encore plus important d’en tenir compte dans ces vieux bĂątis. Chaque source d’apport d’eau dans les parois extĂ©rieures doit ĂȘtre gĂ©rĂ©e, c’est de ce constat et de cette obligation qu’est nĂ©e la notion de systĂšme de gestion du transit de la vapeur d’eau. Le systĂšme inventĂ© a Ă©tĂ© baptisĂ©, selon les cas, Pare-vapeur ou Frein-vapeur. Un peu de sĂ©mantique Etymologiquement le prĂ©fixe “pare” sous entend “protĂ©gĂ© de” ou “parer”, dans le sens de se prĂ©munir. La racine est latine “parare” Il n’y a pas lĂ  d’exclusive comme on l’entend souvent dire mais de “faire parade à”, ce qui ne signifie pas annuler la chose, mais en Ă©viter les consĂ©quences. Une exclusion totale serait plutĂŽt dĂ©signĂ©e par “anti”. Un exemple parapluie ne signifie pas qu’il ne va pas pleuvoir, mais qu’on va se prĂ©munir contre la pluie, la gĂ©rer sans en subir les inconvĂ©nients. Paratonnerre ne signifie pas qu’on va arrĂȘter ou empĂȘcher la foudre mais s’en prĂ©munir. Il en va de mĂȘme pour la vapeur, on cherche avec un pare-vapeur Ă  se prĂ©munir d’éventuels dĂ©sordres qu’elle pourrait provoquer. Le mot est donc bien choisi ! Frein-vapeur Etymologiquement, freiner ne signifie pas rĂ©guler, mais ralentir la progression. Or ralentir le transit de la vapeur serait-il suffisant pour se prĂ©munir d’éventuels dĂ©sordres consĂ©cutifs Ă  un excĂšs de vapeur ? Probablement pas. Le mot frein-vapeur n’est donc pas adĂ©quat ! Et pourtant 
 Les habitudes Ă©tant fortement ancrĂ©es, diverses appellations Ă©tant encore, Ă  tort Ă  notre avis, souvent usitĂ©es, ce qui correspondrait Ă  une appellation Frein-vapeur » est pour les autoritĂ©s certificatrices et pour nous Ă  leur suite un pare-vapeur Ă  SD faible. D’oĂč vient la vapeur d’eau dans l’air ambiant d’une maison ? Autrefois, l’activitĂ© principale Ă©tant l’agriculture, la vie des humains se passait beaucoup soit Ă  l’extĂ©rieur, soit dans les bĂątiments agricoles. Aujourd’hui les habitudes de vie ont radicalement changĂ©, nous vivons essentiellement confinĂ©s, soit dans les locaux d’activitĂ©, soit dans nos habitats. Nous avons aussi trĂšs nettement changĂ© nos modes et habitudes de vie. Voyons une liste sommaire et non exhaustive des habitudes de vie d’antan dans la maison un humain se lavait sommairement le visage chaque matin, il faisait, ce qui Ă©tait appelĂ© “la grande toilette”, une fois par semaine via quelques litres d’eau tiĂšde dans une bassine, la cuisine Ă©tait rĂ©alisĂ©e sur le feu, dans une marmite suspendue au-dessus de l’ñtre, le linge Ă©tait lavĂ© Ă  l’extĂ©rieur et lorsque les conditions climatiques le permettaient, il Ă©tait mis Ă  sĂ©cher Ă  l’extĂ©rieur, les sols Ă©taient balayĂ©s mais lavĂ©s trĂšs rarement, voir jamais pour le cas, entre autre, des sols en terre battue. Quels changements dans nos comportements Linge sĂ©chĂ© Ă  l’air ambiant Ă  l’extĂ©rieur chacun prend, peu ou prou, une douche par jour, parfois un bain, le plus souvent avec de l’eau bien chaude donc fortement Ă©mettrice de vapeur, la cuisine est dĂ©sormais rĂ©alisĂ©e loin de toute cheminĂ©e naturelle d’évacuation, le linge est lavĂ© Ă  l’intĂ©rieur, il est mĂȘme parfois mis Ă  sĂ©cher Ă  l’air dans l’habitat, les sols sont lavĂ©s trĂšs souvent. 
 bref, nous Ă©mettons beaucoup de vapeur d’eau chaque jour, un peu du fait de notre mĂ©tabolisme, mais surtout du fait de nos activitĂ©s. Les quantitĂ©s Ă©mises sont de l’ordre de 2,5 Ă  4 litres d’eau par jour et par adulte pdf. la majeure partie de nos activitĂ©s Ă©mettrices Ă©tant rĂ©alisĂ©es dans nos habitats, chaque adulte gĂ©nĂšre l’équivalent de 1,5 Ă  2,5 litres d’eau sous forme de vapeur dans son habitat. Comment se comporte la vapeur d’eau d’un habitat ? L’eau, selon sa tempĂ©rature, se trouve en 3 types d’état. Le plus courant est l’état liquide, le changement le simple est est le passage Ă  l’état solide pour une eau pure, Ă  l’altitude de la mer, en dessous de 0°C, l’eau gĂšle. Par contre le passage de l’état liquide Ă  l’état gazeux et vice et versa est beaucoup plus variable. Elle dĂ©pend de la tempĂ©rature et de la pression exercĂ©e. Voicis une vidĂ©o qui, bien que axĂ©e sur l’explication du “pourquoi des nuages”, explique parfaitement le principe de l’évaporation et celui de la condensation. Nous vous la conseillons dans sa totalitĂ© bien que ce qui nous intĂ©resse pour cet article se situe principalement entre 7’ et 12’. Nous en retiendrons principalement que la possible teneur en vapeur d’eau est variable selon la tempĂ©rature de l’air, la prĂ©sence ou non de noyaux de condensation dans l’air minute environ et de la pression exercĂ©e l’enthalpie. Pour ce qui concerne un habitat, ce qui impacte l’eau et son passage de l’état gazeux invisible dans l’air Ă  l’état liquide est la tempĂ©rature de l’air qui la contient. Plus un air est chaud, plus il peut contenir d’eau sous forme de vapeur. Ceci est trĂ©s bien illustrĂ© par le diagramme de Mollier. Les quantitĂ©s d’eau contenue dans de l’air sous forme de vapeur, ce que l’on qualifie d’humiditĂ© relative, et les quantitĂ©s de cette mĂȘme eau, mais cette fois sous forme liquide est ce qu’on appelle l’humiditĂ© absolue. Ces notions ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©es ici dans un article intitulĂ© QualitĂ© de l’air pourquoi et comment ventiler ? L’hiver, lorsque l’air intĂ©rieur chaud et chargĂ© en vapeur d’eau se rapproche des parois extĂ©rieures plus froides, il se refroidit et, ce faisant, la vapeur d’eau se condense, en surface des murs ou vitrages, c’est ce qu’on appelle de la buĂ©e. Si les conditions repoussent cette matĂ©rialisation d’eau liquide dans l’épaisseur des cloisons, on l’appelle alors un point de rosĂ©e. Pourquoi devons-nous gĂ©rer la vapeur d’eau ? Nous voulons vivre dans nos maisons en y ressentant un confort vidĂ©o le meilleur possible. Une partie de ce ressenti est due Ă  la tempĂ©rature ambiante dans laquelle nous vivons. La tempĂ©rature, Ă©levĂ©e au regard de celle qui, l’hiver, rĂšgne Ă  l’extĂ©rieur de la maison est atteinte et maintenue via le chauffage. Pour limiter que ce chauffage coĂ»te trop cher et, accessoirement, pollue, il faut endiguer la perte des calories. C’est pour cette raison que nous isolons nos habitats. Une autre partie du ressenti de confort est due Ă  un niveau de rayonnement vidĂ©o Ă©quivalent de toutes les parois et de tous les Ă©lĂ©ments constitutifs de la maison. C’est pour cette raison qu’il est bon qu’un habitat soit traitĂ© et/ou isolĂ© de la mĂȘme façon et avec un niveau de performance Ă©quivalent pour tous ses Ă©lĂ©ments. Enfin une autre source, Ă  la fois de coĂ»t et d’inconfort, concerne les mouvements d’air par convection et les fuites d’air, petites et grosses. Pour maĂźtriser les fuites nous Ă©tanchĂ©ifions nos habitats. Changements dans nos maisons Nous Ă©mettons plus de vapeur d’eau dans notre volume de vie, notre air est plus chaud et peut donc contenir plus de vapeur d’eau, nos habitats sont de plus en plus Ă©tanches au vent. Formation de points de rosĂ©e MĂȘme si le climat semble irrĂ©mĂ©diablement Ă©voluer vers un rĂ©chauffement, l’hiver, il continuer Ă  faire plus froid dehors qu’à l’intĂ©rieur 
 MĂȘme si nos habitats sont Ă©tanches au vent, notre air intĂ©rieur chaud, comme tout ce qui est soumis Ă  la chaleur, est dilatĂ© et donc migre de l’intĂ©rieur vers l’extĂ©rieur et 
 
 La conjonction de ces trois phĂ©nomĂšnes fait que nos parois sont infiniment plus exposĂ©es Ă  la formation de points de rosĂ©e qu’autrefois. MĂ©faits des points de rosĂ©e La consĂ©quence d’un point de rosĂ©e est la matĂ©rialisation d’eau liquide. Si les conditions requises durent suffisamment, de l’eau peut se condenser en quantitĂ© importante. Le point d rosĂ©e se matĂ©rialisera lĂ  oĂč le choc thermique sera le plus important, donc le plus souvent dans l’isolant. Inactivation de l’isolant La plupart des isolants fonctionnent par emprisonnement d’air rendu captif entre des fibres 2 derniĂšres minutes de la vidĂ©o. Si l’air captif est remplacĂ© par de l’eau, l’isolant n’isolera plus 
 Dommage car le point de rosĂ©e sera d’autant plus important qu’il fera froid dehors et que nous nous confinerons bien au chaud dans le volume habitĂ© et que c’est prĂ©cisĂ©ment au moment oĂč nous en aurions le plus besoin que l’isolant sera dĂ©faillant ! Atteintes aux murs en bĂ©ton Les murs en bĂ©ton ou en Ă©lĂ©ments prĂ©fabriquĂ©s Ă  base de bĂ©ton au ciment Portland sont “armĂ©s” avec des ferraillages. La prĂ©sence d’eau peut les faire rouiller, ce qui en provoque le gonflement. Ce gonflement provoque l’apparition de micro-fissures, lesquelles vont rapidement devenir des fissures. Elles vont favoriser l’infiltration d’eau dans la paroi et, si cette eau gĂšle, du fait de son expansion, elle provoquera l’éclatement du bĂ©ton, pouvant aller jusqu’à porter atteinte Ă  la pĂ©rennitĂ© de l’ouvrage. Atteintes aux bois La stagnation d’eau peut provoquer, dans un 1er temps, l’apparition de moisissure et, dans un second temps, le pourrissement des bois. Ceci est particuliĂšrement vrai pour les bĂątisses Ă  colombage anciennes. Aspects visuels Apparition d’aurĂ©oles sur les parements, premiĂšres traces de la prĂ©sence et du dĂ©veloppement de moisissure puis, rapidement, les peintures virent au gris pour, enfin, voir cette moisissure en surface. Aspects sanitaire Qui dit moisissures dit Ă©mission de spores et prĂ©sence d’acariens de la moisissure. Les 2 sont fortement allergisants et provoquent moult rhinites, pharyngites, otites et autre Ă©ventuelles angines. Comment pouvons-nous gĂ©rer la vapeur d’eau ? En Ă©mettant moins de vapeur d’eau C’est, Ă  n’en pas douter, la mĂ©thode la plus simple, la moins coĂ»teuse et la plus durable. Pour ce faire, il faudrait vivre moins longtemps dans l’habitat, nous laver moins, ne jamais faire sĂ©cher de linge Ă  l’intĂ©rieur, cuisiner le moins possible, jamais Ă  la vapeur 
 En un mot, renoncer Ă  quelques 50, 60 ou 70 ans de “croissance de niveau de vie”. Peut-ĂȘtre acceptable pour certains, peut-ĂȘtre mĂȘme souhaitable pour d’autres, mais est-ce acceptable par le plus grand nombre ? Probablement pas ! En limitant les conditions de son stockage dans l’air Limiter le chauffage de la maison Ă  14 ou 15°C LĂ  aussi, cette solution est assez simple et 
 radicale chauffer, comme autrefois, Ă  14 ou 15° et conserver nos maisons en l’état de passoire, pas seulement Ă©nergĂ©tique, mais aussi en terme de courants d’air. LĂ  encore, rĂ©gression de quelques 50, 60 ou 70 ans de gain de confort. LĂ  aussi, combien sont disposĂ©s Ă  ce sacrifice ? Probablement peu et c’est lĂ©gitime. Alors, que faire ? Tout en conservant nos progressions en terme de niveau de vie et de confort, prendre toutes dispositions qui permettront de sauvegarder la qualitĂ© de l’air intĂ©rieur, de limiter l’apparition de moisissures avec leur cohorte de consĂ©quences, d’empĂȘcher les dĂ©sordres sur les bĂątis. Les actions Ă  mener pour 
 Renouvellement d’air Il s’agit de renouveler l’air intĂ©rieur en l’extrayant. Ce faisant, en Ă©vacuant l’air intĂ©rieur saturĂ© de vapeur d’eau, on provoquera son changement par de l’air extĂ©rieur, moins saturĂ© de l’air extĂ©rieur Ă  5° et Ă  un taux d’humiditĂ© relative de 90%, donc trĂšs Ă©levĂ©, ne sera plus, une fois chauffĂ© Ă  19° qu’aux environs de 35%, c’st Ă  dire trĂšs sec. Ce sujet a Ă©tĂ© abordĂ© ici dans un article intitulĂ© “QualitĂ© de l’air, pourquoi et comment ventiler ?” RĂ©gulation du transit de vapeur dans les parois extĂ©rieures Pour Ă©viter que les isolants thermiques extĂ©rieurs soient saturĂ©s de vapeur d’eau, certains diront qu’il suffirait d’opter pour des isolants non fibreux tels que des polystyrĂšnes, soit en tant que composants des murs via des coffrages, des Ă©lĂ©ments de structure, des remplissages avec des mousses isolantes ou encore de mettre en Ɠuvre des mousses polyurĂ©thanes projetĂ©es. Toutes ces options ont Ă©tĂ© abordĂ©es ici selon les liens proposĂ©s ci-dessus. Sans dĂ©velopper Ă  nouveau ce que nous leur reprochons, nous pouvons rappeler qu’ils sont gĂ©nĂ©ralement polluants Ă  la production, qu’ils nĂ©cessitent beaucoup d’énergie grise, qu’ils sont trĂšs difficilement recyclables, ne disposent pas d’un bon dĂ©phasage, bref, bien loin de ce que nous considĂ©rons ĂȘtre un habitat Ă©cologique. D’autres diront qu’il suffirait d’étanchĂ©ifier les parois Ă  100%, tant Ă  l’eau liquide qu’au transit de la vapeur d’eau, via des membranes non perspirantes tels que des films polyane ou autres. Nous sommes convaincus que, tout comme nous respirons via notre systĂšme pulmonaire mais aussi via nos Ă©changes cutanĂ©s, nos maisons ont tout autant besoin de renouvellement d’air que de perspirance via les parois extĂ©rieures. La solution prĂ©voir un pare-vapeur RĂ©gulation tempĂ©rature intĂ©rieure avec un pare-vapeur Quand les conditions le permettent, particuliĂšrement dans le cadre d’une construction neuve il suffit alors de concevoir correctement les parois extĂ©rieures mais aussi lors de la rĂ©novation, de l’amĂ©lioration ou de la transformation d’un habitat ancien, si les murs en sont perspirants, il est nĂ©cessaire de rĂ©guler le transit de la vapeur dans les parois extĂ©rieures. Bien qu’aucune rĂšgle Ă©crite n’y oblige ni qu’aucune analyse objective et scientifique ne l’étaye, il est couramment admis et constatĂ© que la perspirance doit ĂȘtre progressive en cheminant de l’intĂ©rieur vers l’extĂ©rieur. L’outil, le moyen, le systĂšme ou l’équipement le plus adĂ©quat pour y parvenir le pare-vapeur. Est-il possible d’éviter la pose d’un pare-vapeur ? Oui, dans des cas trĂšs prĂ©cis, particuliĂšrement ceux Ă  isolation rĂ©partie, mais il s’agit plus d’exceptions que de possibilitĂ©s courantes. Conclusion oui au pare-vapeur ! Une fois admise sa justification, voir sa nĂ©cessitĂ©, se posent alors de nombreuses questions quel type de pare-vapeur membrane, panneaux 
 ? quelles capacitĂ©s de perspirance ? peut-il avoir des fonctions complĂ©mentaires ? oĂč et comment doit-il ĂȘtre mis en Ɠuvre ? dans quels cas peut-il ĂȘtre Ă©vitĂ© ? 
 Toutes ces questions dĂ©montrent Ă  quel point ce sujet est vaste et c’est pourquoi nous reviendrons sur le sujet 
 Dans le bĂątiment, par passion, depuis presque 40 ans, Ancien charpentier, ancien artisan, ancien constructeur de Maisons Ă  Ossature Bois, ancien maitre d'Ɠuvre, Ancien et encore formateur Ă  l'isolation bio-sourcĂ©e, ‱ Titulaire d'un brevet de construction de MOB en kit, ConfĂ©rencier dans plusieurs domaines liĂ©s Ă  l'Ă©co-construction, l'Ă©co-isolation, Youtubeur via des vidĂ©os sur, dans un premier temps, l'isolation et l'efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique et, parce qu'il faut aller plus loin, futurement, plus largement, le bĂątiment responsable et pertinent, Initiateur et administrateur d'un groupe sur Facebook RĂ©novation pertinente » . Pour ceux qui souhaiteraient plus d'informations Soigner l'habitat Le mortier adhĂ©sif, une arme redoutable pour tous les bricoleurs Qu’est ce que le MAP ou mortier adhĂ©sif ? La principale utilisation du mortier adhĂ©sif est de coller des plaques de plĂątre et leur complexe isolant polystyrĂšne, polyurĂ©thane sur mur en briques, bĂ©ton, bĂ©ton cellulaire et autres matĂ©riaux de construction. Il est trĂšs utilisĂ© pour le collage d’isolants muraux. Le mortier adhĂ©sif se prĂ©sente souvent comme une poudre Ă  diluer dans de l’eau claire. Un sac de 25 kg est diluĂ© dans environ la moitiĂ© de son poids en eau, soit 12,5kg variable selon les fabricants. Sa durĂ©e d’utilisation est relativement longue, environ 1h30 se qui permet d’en prĂ©parer une quantitĂ© importante Ă  l’avance. Le sac de mortier adhĂ©sif peut ĂȘtre conservĂ© environ 6 mois au sec, pour une utilisation toujours optimale. Selon les fabricants, cela se nomme Pregycolle120 chez LafargePlatre MP2 chez WeberBroutin 
 Ou plus simplement mortier-adhĂ©sif » dans les grandes surfaces bricolages. Attention, le mortier adhĂ©sif est Ă  ne pas confondre avec le mortier colle dont le but est de coller le carrelage au sol et mural. Comment mettre en oeuvre le MAP mortier adhĂ©sif ? Lors de l’application du mortier adhĂ©sif, le support doit ĂȘtre propre et sain. S’il est trop sec il est possible de l’humidifier lĂ©gĂšrement, pour favoriser l’accroche du mortier adhĂ©sif. De mĂȘme il est possible de scarifier l’isolant Ă  l’aide de dents de scies Ă  bois par exemple, pour rayer le support et favoriser l’accrochage du mortier adhĂ©sif. Je conseille un malaxeur 3 euros environ, Ă  monter sur une perceuse. On dit aussi un agitateur pour le prĂ©parer. Puis attendre 15minutes, et le malaxer Ă  nouveau pour enlever les Ă©ventuels grumeaux. 2 applications sont possibles l’application en plots du mortier adhĂ©sif l’application en bandes du MAP Appliquer le mortier adhĂ©sif en plots C’est la mĂ©thode la plus utilisĂ©e, surtout si vos murs ne sont pas tout Ă  fait plats. Il s’agit de disposer des plots Ă©pais, de 8 Ă  12 cm de diamĂštre et de 5 Ă  10 cm d’épaisseur, tous les 30 cm horizontalement et tous les 40 cm verticalement. Attention votre plaque sera beaucoup plus lourde. Il faut la manipuler avec prĂ©caution pour Ă©viter qu’elle ne casse. Appliquer le mortier adhĂ©sif en bandes Pour cette mĂ©thode il vous faudra rĂ©aliser un cordon sur toute la pĂ©riphĂ©rie de votre plaque puis horizontalement tous les 30 cm. Le cordon devra faire entre 3 et 5 cm de largeur. Si vous souhaiter une savoir plus sur l’application vous pouvez vous rendre Ă  l’adresse suivante mortier Les avantages du mortier adhĂ©sif utilisation longue pendant 1H30, 2H avant qu’il ne commence Ă  prendre pour comparaison, pour le plĂątre c’est 10-15 minutes. Une fois sec 24 H c’est plus dur que le plĂątre, et il ne se comporte pas comme une Ă©ponge comme le plĂątre dans les lieux humides. utilisation possible comme enduit de rebouchage. Car le retrait est minime. Parfait par exemple pour reboucher les espaces entre les plaques de placo avant mise en place des bandes. 18 Mar PubliĂ© par Wibi - CatĂ©gories L'habitation Maintenant que les soubassements sont refaits, il est temps de passer Ă  la partie supĂ©rieureÉvaluer l'Ă©tat/rĂ©parer le pisĂ©Observer l'Ă©tat du pisĂ© dans chaque piĂšce permet de constater sans surprise que certaines ont plus souffert de l'humiditĂ© que d'autres- un pisĂ© dense, clair, Ă  la surface rĂ©guliĂšre, qui sonne "plein" et qu'on attaque difficilement Ă  l'ongle est un pisĂ© en bon un pisĂ© poreux, sombre, qui sonne "creux" et est facilement friable est un pisĂ© qui a pris l'eau. PisĂ© sain enduit chaux / pisĂ© malade enduit ciment Nous commençons par nettoyer les trous qui avaient Ă©tĂ© rebouchĂ©s avec du ciment, de la mousse expansĂ©e, ou de la chaux aĂ©rienne un peu pisĂ© qui a le plus souffert est purgĂ© de sa couche friable Ă  l'aide d'une brosse Ă  poil rigide, on "brosse" le mur jusqu'Ă  retrouver une surface pleine et humidifions ensuite les trous Ă  l'aide d'un pulvĂ©risateur ou d'un jet rĂ©glable type brumisateur, jusqu'Ă  6 fois en 2-3 jours selon la saison. Nettoyage et humidification Puis il ne reste qu'Ă  reboucher avec notre mĂ©lange adaptĂ© le mĂȘme que pour les adobes- 4 pailles 3 terres 1 sable 1/2 chaux NHL2 1/2argileNous avons Ă©galement essayĂ© avec un mĂ©lange moins paillĂ© 2 au lieu de 4.Cela convient bien en association avec des adobes ou terres cuites pour boucher de gros trous, mais seul ce mĂ©lange a tendance au retrait en sĂ©chant. Les plus gros trous sont comblĂ©s avec des adobes ou des briquettes, rentrĂ©es "en force" dans le mortier. Solives rescellĂ©es avec adobes et mortier Dans la chaufferie, les murs ont particuliĂšrement besoins d'ĂȘtre purgĂ©s forte odeur d'urine de vache ayant migrĂ© dans les murs puis parties ont mĂȘme ĂȘtre dues remontĂ©es intĂ©gralement sur toute l'Ă©paisseur... un prochain article en perspective! JĂ©rĂ©my, bĂ©nĂ©vole en action sur un mur de la chaufferie!

boucher un trou dans un mur en pisé